Figurez-vous que c’était un des disques "de chevet" de mon fils dans le premier mois de sa vie (ça et le Mariee Sioux, pour ne rien vous cacher). Cela ne veut évidemment pas dire que je considère notre amie corsaire comme musicalement infantile - j’en suis personnellement assez fan aussi - mais ça dit toute la simplicité, au sens noble du terme, de cette suite de berceuses à l’évidence mélodique "plus facile à faire qu’à comprendre" (pour citer ma phrase préférée du disque), à la tendre nostalgie qui confine au bouleversant dès qu’on s’immerge dans les textes, très réussis. Bon, maintenant mon fils adore (...)