La prolixité de Conor Oberst est sans doute une explication. Mais il faut quand même dire que dans les années ’60, multiplier les sorties était la norme. Si on prend tout ce qu’a sorti Bob Dylan (désolé de revenir avec lui) entre, disons, 1962 et 1966 (voir ici), on ne peut que s’incliner.
Mais c’est vrai qu’une digest des trois derniers albums sous trois noms différents pourrait donner un album de haute volée.