Le bleu du ciel
Ecrire cette critique avant qu’elle ne m’échappe complètement, voilà le but de cette rédaction. Parce qu’à force de trimballer un album partout avec soi, on perd le recul nécessaire à l’élaboration d’un avis.
Musicalement, c’est logiquement le piano qui tient la meilleure place. Et ça permet de passer de l’intimité à l’ampleur, même si évidemment on a souvent entendu ça. Pour faire la différence, Regina Spektor peut compter sur ses talents d’écriture et d’interprétation (…)