Il y a quelques semaines, tout ce que je connaissais de Benjamin Biolay d’un strict point de vue discographique c’était A l’Origine que j’avais vraiment bien aimé par moments mais qui m’avait aussi laissé perplexe par ailleurs. C’est sans doute ce qui explique que je n’ai pas écouté Trash Yéyé à l’époque, alors que je trouvais vraiment très bon Merco-Benz. Je l’ai évidemment écouté depuis pour me rendre compte du chemin parcouru. Il apparait comme moins flamboyant et plus intime que cette (…)