Pour revenir à une critique plus objective de l’oeuvre (quasi impossible quand on aime ce groupe depuis 20 ans), je suis assez d’accord avec ceux qui ressentent l’influence peut-être un peu trop pesante de Thom Yorke sur cet album. (Eraser 2 est une bonne image).
Certains craignent une dérive à la Roger Waters avec "The Final Cut" qui avait conduit à l’implosion irreversible de Pink Floyd il y a 30 ans.
Les compos et la prod laisse peu de place à la patte des autres membres et la guitarre de Nigel me manque un peu...
Mais la magie est toujours là, certe plus difficile d’accès pour les (…)