Le blues de l’Auvergnat
Même pour un festival qui se déroule dans des salles couvertes, la météo est un plus indéniable. Surtout quand on a le chouette site du Bota comme cadre.
On connaissait Jean-Louis Murat, il fait partie de ceux dont on aime avoir souvent des nouvelles. Par contre, nous n’avons pas été jusqu’à voir Marie-Pierre Arthur, qui ne nous avait pas complétement enchantés pendant les Francos de 2011. Si vous l’avez vue, vous pouvez nous dire ce que vous en avez pensé. (…)