Si je peux me permettre...
"Femme X" est en effet un excellent album, qu’elle n’a pas dépassé depuis quand bien même cette "Vie Buissonnière" est globalement réussi et remet les pendules à l’heure "Après l’Amour". Les textes renouent effectivement avec une certaine urgence sensuelle qu’on pouvait lui trouver à ses débuts, et relativement galvaudée sur un second album verbalement poussif, assez naïvement explicite, bref peu subtil.
À l’époque de son premier album (en 2002 donc), Karin Clercq avait par hasard hérité du siège n° je-ne-sais-plus du Cirque Royal, pour aller applaudir la (…)