Quand un homme a réussi à être à l’avant-garde de la musique contemporaine, à passer par tous les discours et toutes les attitudes possibles, tous les instruments utilisables ; quand, surtout, cet homme a fourni à la postérité quelques unes de ses perles pop ultimes, on ne peut qu’éprouver du respect. Sentiment qui empêche de considérer les mauvais millésimes avec toute la lucidité voulue. Mais les périodes euphoriques gomment tout le reste. On en distingue plusieurs : Space oddity, en (…)