Il y a des gens à qui faire des "choses abouties" ne va pas...
Mais ce n’est que mon avis !
Pour ma part, chez Tunng, je pleure les EP et le premier album.
Depuis, toute fragilité nue s’est affaisée et il ne reste que de bien belles choses, bien sympathiques et bien jolies (ah, l’usage de ce "bien" dans notre belle langue mère, quelle cruauté !).
Qui me laissent un peu (beaucoup) indifférent !
Comme dit récemment dans la critique du dernier Laura Veirs, ce sentiment, je le ressens souvent à propos des "fragiles" qui ont sorti un monument et cherchent depuis : King of Convenience, Laura Veirs, (...)