En réponse à :
10 août 2006, par marc
Interpol est précédé d’une réputation flatteuse. Donc on écoute, attirés par un Length of love de fort bonne facture. Les références sont balisées, se situent chez Joy Division surtout et les Smiths (voir chez Strangelove et les New Fads pour les plus motivés). On se dit que ce genre de fusion entre la cold wave et le gros son de maintenant peut marcher.
Et puis, sur la longueur, on se lasse, les compositions semblent un peu mollassonnes, la répétition si présente chez Joy Division y était (…)