Il est possible qu’un de ces jours on se lasse de la musique électronique, qu’on émette un bâillement ennuyé comme celui qui ponctue un morceau d’acid-jazz. Mais tant que les albums seront à la hauteur de celui-ci, les oubliettes des styles passés de mode lui sont épargnées.
C’était un coup de bluff. Que Tom Barman, sorte de touche-à-tout de génie (rappelons qu’il est chanteur de dEUS, réalisateur de films comme Anyway the wind blows, DJ et j’en passe) rencontre CJ Bolland, c’était un peu (…)