Voilà un joli cas de conscience. Le propos d’une chronique n’est pas l’épanchement mais dans ce cas il est bon de rappeler qu’à force de l’évoquer, de le hurler à toutes les occasions, de le faire connaître à tout mon entourage je manque de l’objectivité nécessaire à l’entame de cet exercice. Je ne pourrait pas le commenter froidement je vous préviens déjà. 1964 est l’année de naissance de Miossec. Quarante ans, c’est dingue mais c’est comme ça. Alors ces préoccupations sont assez éloignées (…)