Il faut le dire tout net : l’exercice de la B.O.F. est très souvent plus que vain, dicté par une obligation marketing et truffé de scories (l’indispensable thème mis à toutes les sauces, de la symphonie à la rumba, les dispensables incrustations de dialogues ou alors le genre fourre-tout-compilation-mes-meilleures-années-j’étais-étudiant-et-pas-encore-réalisateur). Mais parfois, on atteint le très bon (en gros, une B.O. est bonne si on peut parfaitement se passer du film), et les exemples ne (…)