On ne peut pas être touché par les mêmes choses. Pour moi, la grâce aérienne d’un The Owl & the Tanager ou l’interprétation transcendée de Seven Swans correspondent à l’idée que je me fais de la beauté la plus poignante, suffocante presque.
Je suis d’accord avec toi sur un point, c’est le côté assez nombriliste du bonhomme, que ma mémoire sélective a fini par omettre au terme d’un spectacle qui m’a offert tant et tant. Mais je comprends tout à fait que la rupture entre le Sufjan au banjo et cet artiste (prétentieusement) conceptuel et (grotesquement) extravagant ne soit pas du goût de tous.
C’est amusant (...)