Inconscient collectif
On a tous en nous quelques fragments d’Italie, un relent de dolce vita au détour d’un soleil vermillon, d’un soupçon de basilic et d’origan mêlé à l’odeur des tomates fraîches. Ce sont les lenzuola di lino qui pendent à la fenêtre d’une façade ocrée, les cris des enfants qui jouent à s’arroser dans la cour. Un peu d’art antique qui se confond au son des mandolines, beaucoup de renaissance à l’eau potable des fontaines. Et bien sûr il y a le cinéma ; la sonnerie édulcorée des telefoni (...)