Je l’avoue, on ne sait plus trop quoi attendre d’un album de The Rapture en 2011, huit ans après avoir découvert leur premier album pour une de mes premières critiques en ligne. On ne se doutait pas qu’on allait encore manger du post-punk à tous les repas pendant des années, et encore moins que les synthés les plus honteux allaient remonter à la surface régressive. Mais Echoes reste brulant huit ans après. On en a connus des groupes qui sortent des premiers albums ardents avant de tenter une écriture (...)