J’ai pris le temps de l’écoute, c’est une jolie sucrerie dont on ne fera jamais une madeleine de Proust.
Vite consommée, vite oubliée.
Bien sur dans quinze/vingt ans quand le 2012 sera devenu vintage, on se souviendra de cet album comme le reflet de son époque :
cosmétique.