Est-ce vraiment utile de noircir des pages pour dire la même chose ?
En tout cas, ça soulage… De fait, Shearwater nous a, une nouvelle fois, flanqué une baffe magistrale, J’avais une petite appréhension quant à la gestion des anciens titres, plus évanescents, par ces petits nouveaux adeptes de choses plus carrées, mais « The Snow Leopard » balancé à froid, en apéritif, a vite fait de dissiper mes doutes…Ce nouveau line up, malgré son approche plus musclée, plus binaire (Avec ce batteur notamment, adepte de la frappe forte,incisive,à la précision stupéfiante) parvient encore à garder un lyrisme (...)