Il n’est pas rare qu’une pochette évoque la musique contenue dans le CD. Ici, on a un arc tendu sur un fond flou et intriguant. Encore un groupe inclassable. Evidemment, le rapprochement avec la voix de Peter Gabriel est parfois flagrante (Staring at the sun, Don’t love you). Une certaine intensité, comme du Stooges au ralenti, ou alors du jazz en binaire (je en sais pas si je vais m’en sortir en pavant ma critique d’oxymores mais bon...), voire même une certaine forme de Velvet underground. (…)