En réponse à :
13 septembre 2012, par marc
Croustillon
J’ai déjà eu cette année l’occasion d’ironiser sur le post-rock, sur un certain immobilisme par rapport à certains courants contemporains qui apparaissent comme plus excitants (et peut-être plus éphémères aussi). Pourtant, l’annonce de la sortie d’un album de Mono a suscité plus qu’une curiosité, une vraie envie. Dans ce cas, on oublie les modes, voire même une certaine idée du bon goût, pour s’abandonner dans ce lyrisme certes exagéré, mais qui impose plus de respect que de (…)