Souriant magnétisme
Un festival, on peut voir ça aussi comme un avant-goût, comme la chance de voir des artistes avant de les écouter dans des conditions encore meilleures. A part quelques confirmations, la visite sur la plaine de Werchter cette année avait révélé une Natasha Kahn étincelante, à un tel point que la revoir à l’AB avait semblé naturel. Surtout qu’entretemps, l’album The Haunted Man, d’un abord un peu plus austère, avait fini par révéler toute sa qualité.
Pour une fois, on passe la première (...)