Belle palette de distorsion
A priori, le projet Prairie a de quoi intriguer. Hébergé par le très recommandable label bruxellois Spank Me More, il ne cite sans ses références que des films, aucune trace musicale. C’est toujours dangereux de présenter ce qu’on fait comme une ‘musique de film à inventer’ parce que si l’auteur a des images dans sa tête au moment de créer, il n’est pas toujours facile d’en susciter chez l’auditeur.
Premier morceau, on a compris qu’on ne nous laissera pas (…)