Une question qui revient souvent en musique c’est : "Comment survivre à un premier album presque parfait ?". En effet, beaucoup n’ont jamais pu transformer l’essai. Et vu que le niveau du premier album de Joseph Arthur (Big city secrets) était époustouflant, on n’a jamais retrouvé sur ses oeuvres ultérieures la magie, la fragilité et l’équilibre de ce presque classique.
Il semble cependant que plus le temps passe, mieux l’influence finalement néfaste de ses débuts est digérée. Le rock (…)