Kevin Barnes avait perdu pas mal de monde avec l’album précédent, très inégal et masquant un manque d’inspiration par un changement perpétuel épuisant sur la longueur. On savait que les variations seraient là, mais elles étaient un perpétuel défi à l’attention. C’est la première bonne surprise de cet album (le douzième…). On n’attendait un album qui glisse dans l’oreille et c’est sans doute le premier album d’Of Montreal auquel on puisse associer les qualificatifs de ‘plaisant’ et (…)