La grosse faute de goût des esthètes d’Interpol fut probablement de sortir la carte « Turn On The Bright Lights » (2002) en premier choix... D’un autre côté, ce n’était pas de leur faute, on peut difficilement reprocher aux artistes d’avoir trop de talent... Dès lors, même si le reste de leur disco s’avère avoir été assez potable, c’était loin d’être suffisant pour rassasier un public à l’ingratitude affamée d’excellence...Une certaine lassitude s’installait...
On place donc El Pintor, (…)