On ne peut pas dire qu’on assiste à un bouillonnement de nouveaux talents sur la scène française pour ceux qui comme moi sont allergiques à Christine and The Queens et Stromae. C’est peut-être pour ça que le premier album de Baden Baden avait tellement plu. D’ailleurs, chanté en français pour moitié seulement, il proposait une façon d’aborder la musique qui évoquait plus les formations québécoises qu’européennes.
Pour leur second album, ils ont poussé la logique encore plus loin. Sans (…)