Il n’est pas toujours simple de discerner les intentions d’un groupe sur un premier album. Quand on a vu débouler le sympathique premier album d’Of Monsters and Men, on a découvert une formation islandaise qui semblait comme tant d’autres penser que le temps ne s’était pas écoulé depuis Funeral d’Arcade Fire. Ce n’étaient certes pas les premiers, et on savait que les parcours des groupes qui commencent de la sorte évoluent vite vers autre chose. Avec plus (Fanfarlo) ou moins (My Latest (…)