Il y a des artistes qui passent comme ça, livrent un album magnifique et disparaissent aussitôt du radar. Par la faute d’un public versatile ou d’un état de grâce compliqué à reproduire, allez savoir. Aux côtés de The Field, Paul Kalkbrenner (qui revient en ce moment en forme moyenne) ou Pantha Du Prince (ce dernier étant tout de même plus constant), on avait cédé aux sirènes de Liebe Ist… de Stephan Bodzin il y a huit ans et on est donc tout surpris de le voir ressurgir.
Et on peut dire (…)