« Find something difficult to do and do it »
Est une phrase qu’on retrouve sur un des anciens albums de Destroyer, le groupe articulé autour de l’omniprésente figure de Dan Bejar. Si on ne peut pas dire que l’enchainement de ses albums sente la difficulté, on peut néanmoins lui reconnaitre qu’il ne s’est jamais laissé enfermer dans un style. Après le rock psychédélique de Trouble In Dreams et les accents années ’80 d’un Kaputttrès bien côté mais qui m’avait rebuté par sa froideur et son (…)