Dans un monde normal, la musique de Róisín Murphy devrait me laisser froid au mieux. House chantée, molasse et alambiquée, ce n’est pas exactement ce qui me passionne. Pourtant, il y a avec l’Irlandaise une connivence immédiate, qui ne m’a quitté que le temps d’Overpowered. Et si on est étonnés de la retrouver aussi vite après le très réussi Hairless Toys de l’an passé, c’est parce que les deux albums puisent leur substance dans la même session de 5 semaines avec le producteur Eddie (…)