Il est probable qu’on ne me demande jamais quel est mon artiste norvégien favori. C’est bête, j’ai une réponse pour ça, c’est Einar Stray. Depuis un premier album sous son nom seul et la confirmation en tant qu’Einar Stray Orchestra, on n’a jamais eu à déplorer la moindre déception, le moindre affaiblissement, le plus petit essoufflement.
C’est d’autant plus remarquable que quand une formation vise l’ampleur, le son grossit artificiellement pour montrer qu’on n’est digne de jouer que dans (…)