Il y a un nouveau The Wooden Wolf. Ça devrait être tout ce qu’on voudrait dire. Parce qu’à la relecture des compte-rendus précédents, il y a très peu de choses à modifier. Certes, les morceaux sont nouveaux, d’accord, il n’est pas identique au précédent mais ce cinquième opus est surtout une cinquième occasion de s’enthousiasmer et de répandre la bonne parole d’Alex Keiling.
On avait distingué deux tendances, une plus minimaliste et une plus orchestrée. On n’est pas franchement dans un de ces deux cas de (...)