A force de clamer que cet album constitue enfin la musique qu’il aime et qu’il a toujours voulu faire, on en vient à se demander s’il ne s’est pas un peu forcé pendant toutes ces années à nous faire danser.
Blague à part, il faut bien avouer que ’The cloud making machine’ marque une rupture dans la discographie du Français. On se trouve face à de l’ambient, du calme, du très calme même (l’apaisée plage titulaire). Dans des ambiances rappelant les jours tranquilles de Future Sound of London par exemple (sur (...)