S’il n’y en a pas eu de trace écrite en ces colonnes virtuelles, on a toujours suivi Nick Cave. Son album précédent qui traitait du deuil de son fils n’avait pas été traité ici, pour les mêmes raisons que l’album équivalent de Phil Elverum. Et tout comme l’Américain, il semble qu’un album à la sincérité manifeste n’ait pas suffi à éponger la souffrance, tout en montrant sur le second volet une certaine lumière qui rend l’écoute moins exigeante et une rédemption par la beauté qui ne peut que (…)