Il faut se rendre à l’évidence après des écoutes répétées : cet album de Gravenhurst est d’une isondable beauté.
Tout commençait comme le meilleur des Tortoise (TNT). Rien ne laissait donc soupçonner la présence d’un chant (pour rappel, Tortoise c’est exclusivement instrumental), encore moins de ces impressionnantes secousses telluriques. Car l’album est parsemé de ces fulgurances électriques qui sont comme un surlignage des climats apaisés et un peu froids. On n’a entendu qu’un morceau (…)