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21 août 2006, par marc
Du rock progressif. Déjà on s’étonne. Instrumental. Là, on panique. Et on a tort. Car rien ne vaut l’absence de voix pour installer des climats, vu que l’enjeu du couplet-refrain-bridge n’a plus de sens. Ici, le côté austère de la pochette est encore renforcé par le nom des morceaux, qui sont juste des numéros de I à V.
Le I fait semblant de nous apaise, en nous inquiétant quand même. Et puis c’est le déluge, un peu comme si Angel Dust de Faith no more (on est sur le label de Mike Patton, (…)