On le voit quand des artistes sont non seulement doués mais lucides. Il y a quelques albums de cela, of Montreal semblait en pilotage automatique. Que le vol se fasse dans des cieux bizarres et infiniment créatifs n’y faisait rien. Les pochettes surchargées, les morceaux infinis changeant toutes les trente secondes, tout semblait un peu se ressembler. Ca restait bon mais la surprise s’était évaporée. Et puis il y a eu l’excellent Lousy With Sylvanbriar et ses inattendus accents dylanniens (…)