L’éclosion de Mike Hadreas, on la suit depuis le tout début, et si elle s’est faite par étapes successives, la vision globale est assez spectaculaire. On l’avait quitté avec No Shape en 2017 qui avait plu, montré que son univers était en expansion mais que son processus n’était pas encore stabilisé, qu’il y avait encore une marge de progression. La phase de polissage du style est en cours mais le ton d’un album à l’autre reste sensiblement différent, montrant de la maturité. Il n’a que 28 (…)