Si ce qui nous lie à une formation comme les Tindersticks repose sur une certaine habitude, certes, mais aussi à leur propension à nous surprendre de temps à autres. Ce treizième album studio nous cueille avec des voix samplées, ce qui dévie du croon vespéral habituel. Ou plutôt qui constitue une partie des habitudes. Parce que s’il reste des marqueurs forts comme le vibrato baryton de Stuart Staples, on sait depuis un quart de siècle que la tangente est toujours possible. La dernière en (…)