Peu de groupes nous sont aussi précieux que The Antlers et album après album, ils ont pris l’habitude de nous rassurer. Depuis leur supposé ultime Familiars d’il y a sept ans, on désespérait un peu d’avoir de leurs nouvelles. On avait aussi écouté attentivement (c’est moins facile qu’il n’y paraît) l’album de Peter Silberman mais ce n’était pas exactement la même chose.
Leur longue absence n’a pas l’air d’avoir changé beaucoup de choses en leur chef. On l’avait signalé à l’époque, les (…)