Le moins que l’on puisse dire du Grec d’origine brésilienne Jef Maarawi est qu’il sait se montrer sympathique rapidement. Sa coolitude frappe d’emblée, comme si Beck remontait l’amazone en jetski. Pas de clichés de musique brésilienne cependant et on sera les derniers à le déplorer. C’est en effet une petite coloration, un marqueur de personnalité plus qu’un gimmick. Ou alors la source de références ciblées (I don’t remember what year it was/But I’m sure we won the world cup).
La chaleur (…)