S’il est communément admis qu’on peut identifier des amis à leur propension à nous décevoir, The Wooden Wolf n’en fait pas partie tant on n’a jamais été déçus par Alex Keiling. Il y a pourtant avant l’écoute une minuscule appréhension. Sera-t-on encore charmé ?
La voix éraillée et son humanité bouleversante sont toujours là. Le style reste, les différences sont à la marge et donnent une tonalité différente à chaque parution. Sur ce septième opus, on distingue des atours plus légers et on peut s’imaginer que (...)