En quadra-public-cible, je dois dire que le premier morceau m’a enthousiasmé puis que j’ai commencé à décrocher à partir du deuxième. Mon intérêt a été relancé à diverses reprises (les deux derniers titres par exemple), la mélancolie lo-fi occasionnelle me faisant penser à Troy Von Balthazar, mais je suis moins fan ici des envolées de grosses guitares. J’ai l’impression que l’album a un peu le séant entre deux chaises, ce qui fait que j’en ai beaucoup aimé une petite moitié, cependant que l’autre m’a totalement laissé sur le (...)