En réponse à :
23 août 2006, par Fred
Je sais c’est très mal ce que je fais : commencer une chronique avec des a priori comptables à la tonne...
Quoiqu’il en soit, voici donc la dernière lolita en date, Jojo. Un nom aussi simple n’augure déjà rien de bon, un album éponyme ne fait que confirmer les craintes, on est bien ici devant un produit marketing de grande consommation (nom facile, retenable même par les imbéciles).
Mais laissons le marketing pour regarder du côté de la musique. Tout d’abord et contrairement à ce qu’on (…)