Même si j’ai déjà eu recours à ce procédé un peu chafouin, un passage par le communiqué de presse peut être éclairant au moment d’aborder une œuvre. On nous parle donc de
“paysage sonore d’une gnose fracturée, le plus sombre croisement du Funeral Doom et du Dark Ambient porté par Disjecta Membrae et Guillaume Tiger. Dans un rituel paroxysmique, les deux versets massifs de vingt minutes désagrègent la cosmogonie de la Chair, l’image chirale de la crucifixion emportant l’humanité dans un (…)