A quoi bon critiquer des albums qu’on n’aime pas ? Oui, la questiuon mérite d’être posée. Si chaque fois qu’un album me laissait perplexe je le gardais pour moi, l’intérêt d’un site tel que celui-ci serait cependant compromis. Ma démarche de base était de chercher à comprendre ce que les amateurs trouvaient d’intéressant là-dedans. Je n’ai pas trouvé, je dois l’admettre à ma plus grande confusion.
Si tenter de poser des arguments sur une syntaxe potable est de la masturbation intellectuelle, alors oui je la pratique. Au passage, ce n’est pas gentil d’écorcher le prénom de Nicolas (à qui je n’en veux pas (...)