Tel qu’en lui-même toujours il change
Celui qui détient toujours le record du nombre d’albums critiqués sur ce site (ceci est le huitième) semble à l’abri du mauvais goût. Evidemment, sa folle prolixité s’est calmée et c’est sur le rythme d’une production par an qu’on le reçoit maintenant. On aurait pu dire pour le meilleur tant la livraison de 2007, la reprise des adaptations de Baudelaire par Léo Ferré, avait laissé une impression de qualité, tout comme Taormina l’année d’avant. Mais (…)