Lorsque sortait, l’an dernier, le premier EP 4 titres (dont seulement deux originaux) d’Anna Plaschg, le point de comparaison qui revenait sans cesse sur la toile et dans la presse était Nico. Pas étonnant, vu que Soap & Skin y reprenait avec respect - et ce talent incomparable - son Janitor of Lunacy. Prometteuse autant qu’inquiétante, cette carte de visite et en particulier le terrassant The Sun suscitaient une addiction qui mettait ma raison en péril : j’écrivais alors à ce sujet (car je fais cela aussi, dans mon coin) que la fan, forcément transi, avait de toute évidence un problème à (...)