Et un retour, un ! Finalement, il ne nous avait pas quittés il y a si longtemps que ça, mais l’indigence des derniers albums nous faisaient croire à une séance de sur-place telle (No more shall we part, Nocturama) qu’on ne s’attendait pas à le voir ressurgir.
Il faut pour prendre toute la mesure d’un nouvel album de l’Australien faire un petit retour en arrière. Nous sommes au début des années ’80. Des terroristes sonores du nom de The Birthday party déconcertent les tenants les plus (…)