Portrait en creux
Il était là, il n’était pas loin, il suffisait de le considérer. J’ai été tellement près de le manquer que je soupçonne que je manque bien des choses à cause de cette infinité de sorties. Mais pour mon plus grand plaisir, le troisième album de Piers Faccini ne m’a pas évité.
C’est donc l’album d’un pur singer-songwriter dans la mesure où il a élaboré seul et chez lui le plus clair de ces compositions. Faute de mieux, on va essayer de définir son style par défaut. N’attendez donc pas ici la (...)